Au courant de ma lecture du livre »Osti de fif », j’ai pris en notes quelques citations pertinentes qui pourront faire réaliser divers problèmes aux gens qui se passent présentement à tous les jours envers les homosexuels.
1. P. 9 Avant-propos : « En 2010, notre société doit mettre un terme à ces manifestations de haine dans les cours d’école envers les gais, lesbiennes et tous ceux qu’on présume qu’ils le sont. »
2. P. 10 Avant-propos : « En plus d’être ostracisés, battus, ridiculisés, humiliés, ces adolescents devront surmonter la honte, la peur et de nombreuses mutilations émotives. »
3. P.10 Avant-propos « Pendant combien d’années encore verrons-nous des élèves se faire meurtrir sur les bancs d’école? Combien d’adolescents laisserons-nous se suicider, faut de nous conduire en adultes responsables? Combien de jeunes adultes devront éprouver des problèmes d’anxiété généralisée comme moi et vivre une estime de soi anéantie? Quand mettrons-nous un terme à ces sacrifices de masse? »
4. P .11 Avant-propos : « Nous devrons, en tant que société moderne et évoluée, faire cesser ce cycle infernal qui se répète depuis des décennies dans nos établissements scolaires. »
5. P. 69 La résilience par le théâtre: « Cette année-là est gravée dans mon cœur pour l’éternité ; j’ai compris qu’avec le temps, on gagne à être différent, encore faut-il prendre le risque d’exprimer haut et fort qui on est. »
6. P. 69 La résilience par le théâtre : « Tous les êtres humains ont cette flamme intérieure qui ne demande qu’à se dévoiler ; il faut donc soustraire de l’environnement immédiat tout comportement qui peut la réprimer. »
7. P. 97 et 98 Aujourd’hui : « En réalité, même mes amis les plus proches n’ont jamais entendu parler de mes problèmes d’anxiété et de dépression. […] j’ai compris que c’est l’intolérance et les préjugés en milieu scolaire qui m’ont rendue malade. »
8. P. 98 Aujourd’hui : « Nous, gais et lesbiennes, possédons des ressources nécessaires et utiles à la société, et nous pouvons accéder à ses richesses en vivant à part entière dans un monde sans discrimination. »
9. P.99 À mes bourreaux : « En assumant mon homosexualité, en fréquentant le milieu gai, j’ai découvert un monde plein de richesse, à l’opposé de vos préjugés et de vos idées préconçues. Les êtres humains de cette communauté sont aussi complexes que vous et ils sont animés par les mêmes besoins; tous veulent être heureux et ne pas souffrir.
10. P.105 Des opprimés qui se transforment en oppresseurs : « Nous sommes trop souvent esclaves de nos peurs : peur d’être rejeté par nos pairs et par nos familles, peur de ne pas pouvoir accéder au même avancement social que les autres, peur de décevoir, peur d’être méprisé. »